ATTENTION !
Cette fanfiction n'est pas de moi mais d'un certain Michihiro, et je ne possède les droits ni de Kaamelott ni du VDF (encore que j'aimerais bien, mais bon ça appartient respectivement à
Dies Irae et
Frenchnerd). Cependant, je poste quand même cette fanfic parce que je l'aime bien, tout simplement. 7Vous connaissez la chanson : si cette fanfic' est à vous et que vous ne voulez pas qu'elle soit publiée ici, on retirera le sujet.
Je pense que tous les utilisateurs sont assez âgés ici pour ne pas s'offusquer du langage utilisé.
Sur ce, enjoy =)
__________________________
Prologue La scène se déroule dans la salle de la table ronde. Arthur et Léodagan discutent tactique tout en mangeant, assis à la table.
ARTHUR : Donc…si je résume, ça en ferait une ici, une proche de la côte et une plus en retrait c’est ça ? Trois tourelles sur la côte ouest ? Vous croyez que ça vous ira ?
LEODAGAN : Bah à vrai dire…j’avais pensé en mettre une quatrième ici
(en montrant la carte).
ARTHUR : Bah…en même temps…
(attrape une pomme et l’amène à ses lèvres) Soudain, un homme apparait de nulle part dans la salle. En sang et habillé bizarrement d’une longue veste verte. Il porte d’étranges lunettes et un objet noir scotché à son bras droit.
VOYAGEUR : Non ! Surtout, ne mange pas cette pomme parce que sinon…
(regardant autour de lui) Hé, mais…qu’est-ce que je fous là moi ?
ARTHUR (sursautant) : Ah putain ! La frousse ! Mais vous êtes qui, vous ?! C’est la dame du lac qui vous envoie ?
VOYAGEUR : Laaaa…la dame du lac ?! Ah mais ouais ! La fille de… Euh nan, j’vois pas en fait…
LEODAGAN : Ah ouais. J’commence à piger ce que ça fait quand vous avez les apparitions de l’autre là.
ARTHUR : Ah mais parce que vous le voyez vous aussi ?!
LEODAGAN : Ce serait difficile de pas le voir… Un mec qui pisse le sang sapé comme un clodo ; faudrait être fortiche pour le louper.
ARTHUR :
(Se tournant vers l’homme) : Bon. Qu’est ce que vous foutez là alors ?
VOYAGEUR : Bah, c'est-à-dire que… j’crois que je m’suis un peu paumé en fait.
Générique Acte I
Situation identique ARTHUR : Bon alors, en gros, vous êtes là parce que vous recherchez un mec dénommé…comment déjà ?
VOYAGEUR : Raph’.
ARTHUR (cherchant) : « Raf », « Raf »… Sa vous dit quelque chose beau père ?!
LEODAGAN : Non. (Réfléchissant) Encore que ! Ca me rappelle le nom d’un type que j’ai fait cramer la semaine dernière. Qu’est ce qu’il a pris le mec ! Enfin, j’me trompe peut être, y’en a tellement...
ARTHUR (désabusé) : Pfff. Bref, pourquoi vous le cherchez ce type ?
VOYAGEUR : En fait, j’peux pas tout vous expliquer. Je suis traqué par des mecs de la police du temps. Ils me cherchent, ils m’épient ! Je dois retrouver ce mec parce queeee…nan, c’est sans importance.
LEODAGAN : A ouais, carrément. Même beurré, j’l’aurai pas osée celle-ci. Mais bon, pourquoi pas…
Acte II LEODAGAN : Mais on le crame et c’est marre ! Y’a pas a discutailler, vous voyez bien que ce mec est pas de chez nous. Il a atterri à la table ronde, il nous a entendu parler tactique…on le flambe. Ca coule de source, nan ?
VOYAGEUR : Maisss. Mais, nan, c’est pas ce que vous croyez ! En fait je viens du futur et…
LEOGADAN : Làà ! Vous voyez bien qui délire ! Naaannn mais sans rire. Et puis regardez ses sapes !
ARTHUR : Euh oui, ca ira là les commentaires.
(Regardant le voyageur) Enfin n’empêche que votre tronche est mal barrée. La police du temps ?! C’est quoi que vous appelez police ?! Nan, sans déconner on dirait Perceval, je bitte rien à ce que vous dites.
VOYAGEUR : Bahhh, c’est une bande de mec qui veulent me buter parce que je suis un peu…hors la loi. Mais bon c’est sans importance. Ce qui l’est par contre, c’est de sauver le monde.
ARTHUR : Sans importance ?! Vous vous foutez de moi ?! Vous me dites que vous êtes là alors que vous êtes recherché par je ne sais qui ! Vous mériteriez que je vous foute au cachot !
LEODAGAN : Il mériterait d’être brûlé vif, ouais ! Arrêtez un peu de la jouer fillette.
ARTHUR : Ahhh stop là ! Je vous ai dit de la boucler.
LEODAGAN (rembruni) : Ca n’empêche que…voilà.
ARTHUR : Et c’est quoi cette connerie de sauver le monde ?! Parce que malgré tout il a pas tout à fait tort, j’pourrais vous tuer là, sur le champ. Vous avez comme qui dirait pas choisi le bon endroit au bon moment.
VOYAGEUR : Hé bah c’est ça, dites le si ça vous brise les noix que j’essaye de me casser le cul à sauver la planète ! Aucun respect pour les voyageurs temporels…
ARTHUR (plus calmement) : Nannn, mais c’est pas ça. Le truc c’est que des mecs qui racontent des conneries dans votre genre, j’en ai toute une flopée ici alors au bout d’un moment,j’me méfie quoi. Je sais plus quoi croire…
LEODAGAN : Nannn mais vous voyez bien qu’il vous raconte des conneries ! Vous êtes aveugle ou quoi ?! Foutez le au moins quelques jours au cachot pour lui rafraîchir les idées… Nan, sans rire, si vous le faites pas pour moi, faites le au moins pour vous…
Acte III ARTHUR : Bon, bon, ok. Mettons que je vous croie. C’est quoi votre mission ? Qui me dit que c’est pas que des conneries ?
VOYAGEUR : Je dois changer les actes de certaines personnes pour rétablir un futur...disons plus plaisant. Nan parce que les morts vivants et les goules, ça commence à me gaver un peu moi… D’ailleurs vous
(regardant sur le petit objet sur son bras), faut que je vous évite de tirer une épée d’un rocher, ou une connerie comme ça. Y sont pas précis ces agendas temporels, une vraie connerie. D’ailleurs…
ARTHUR (Le coupant mais intéressé par cette réponse) : Ah ouais. Et il va se passer quoi en l’occurrence, si ça arrive ?
VOYAGEUR : Si vous retirez l’épée ? Et bien, voilà ce qu’il va se passer : Vous allez vivre quelques années au calme, peinard avec votre, enfin...vos femmes ; tout se passera bien, malgré les devoirs auxquels vous devrez répondre. Puis, vous allez faire la connaissance d’un glandu, puis deux puis trois ; jusqu'à être assez équipé pour enchaîner conneries sur conneries. Mais ce n’est pas tout ! Vous allez avoir des emmerdes, devoir gérer des conflits jusqu’à ce que tout vous gave et que vous fassiez péter tout le système. Et finalement vous finirez paumé, dépressif et complètement blasé d’avoir échoué.
Long silence Fond noir LEODAGAN : Comme quoi, finalement...c’était pt’être pas que des conneries ce qu'il disait.